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  • Photo du rédacteurMartin Gravier

RÄIKKÖNEN : “Je pleure la nuit en pensant à tout ce qu'il me reste à faire…”

Avec seulement deux courses restantes avant de clore sa carrière en Formule 1, le champion du monde 2006 est revenu avec émotion sur la tristesse qu'il ressent.

Je déteste tellement mon métier”, confiait un Kimi Räikkönen larmoyant en conférence de presse en amont du premier Grand-Prix d'Arabie Saoudite en Arabie Saoudite sur le tracé de Jeddah en Arabie Saoudite.


Lorsqu’on demandait au finlandais comment il abordait ses derniers Grand-Prix en Formule 1, avant de prendre sa retraite en fin d'année, Kimi semblait au bout du rouleau, puisant dans ses dernières forces.


Tu te donnes à 100%, tu te dis que fais ça pour les enfants, pour assurer leur avenir. Mais au bout du compte… Tu restes un homme. Un simple mortel - excusez-moi…


Prenant un mouchoir usé dans sa poche, Kimi met du temps à réaliser qu’il vide ses mucus dans des billets de 50€.


Oh non… C’est vrai que je dois faire attention maintenant, je n’aurais plus ma carte essence gratuite… Les temps vont être durs. A la fois je suis anxieux de penser à l’avenir, sans revenu ni travail et en même temps, des fois je pleure la nuit en pensant au travail qu’il me reste à faire.”


[812 caractères ; MG]

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